Léopards fait partie de ces sagas que j’apprécie énormément mais qu’il faut que j’attende d’être dans une certaine mood pour réussir à lire. Ce n’est pas le genre de roman que l’on peut lire sans réfléchir, en étant notre cerveau sur pause, bien au contraire. Ici l’histoire est dense et le contenu suffisamment poussé pour obliger le lecteur à mettre toute son attention et sa concentration dans sa lecture. Ce n’est pas du tout une critique, loin de là d’ailleurs, mais une simple constatation qu’il me semblait important de préciser. Ce tome ne fait pas exception et il faudra se munir d’un peu de courage pour tenir le rythme et poursuivre la lecture. Mais si vous vous donnez la peine de poursuivre votre lecture, je peux vous assurer que l’histoire qui suivra en vaudra totalement la peine.
Une fois plongé au cœur de l’intrigue, et vraiment lancé dans la lecture, il est alors impossible d’en décrocher. Le rythme est soutenu, tellement que le lecteur reste captivé d’un bout à l’autre et que l’on ne veut pas quitter une seule seconde les personnages. Mais au-delà du rythme de l’histoire, c’est surtout le fait que vous ne saurez jamais réellement qui croire et quoi penser qui va vous pousser à toujours en lire plus pour essayer d’avoir de nouvelles révélations.
Ce que j’ai particulièrement apprécié dans ce tome, c’est le fait que malgré l’histoire sombre et difficile qui entoure nos héros, leur histoire d’amour est magnifique, douce et pleine d’émotions. C’est une parenthèse bienvenue au milieu de tous les soucis. C’est aussi dans ces passages que le lecteur vient trouver un souffle d’air frais lui permettant de pousser encore un peu sa lecture. Finalement, ces moments plus posés, viennent équilibrer le rythme de l’histoire.
C’est un roman puissant, avec une intrigue prenante et une histoire d’amour magnifique.
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